Des sarments pour amorcer le feu
Comme chaque année, la Commune Libre de Saint Martin offre à l’Hermitage des sarments [1] pour le four. Ce bois de qualité alimentaire est très pratique avant les plus gros billots. Une poignée suffit qui, parait-il, donnerait du goût [2] au pain du patrimoine.
- Quelques sacs suffisent
- Yvon Lhour et Dominique Arcival sortent quelques sacs des vignobles taillés
Le four une fois monté en température, quelques sacs suffisent pour maintenir sa température après chaque fournée. Ils attendent à la vigne qui est taillée en mars.
- Les vignerons à pied d’oeuvre
- La météo avait prévu un temps froid et sec pour le 8 mars
- Les sarments ont déjà bien poussé
- A partir du pied, les sarment montent et s’accroche au fil de fer
- Déjà bien bourgeonnés
- La taille se pratique sur un sarment bien bourgeonné
- Les sarments taillés au sécateur
- Brin par brin, les sarments sont taillés au sécateur
La taille en gobelet convient mieux à cette parcelle : sur chaque pied se trouver, un à deux coursons qui, eux-mêmes portent de 1 à 3 bourgeons (yeux), auxquels la taille redonne de la vigueur.
- Taille en gobelet
- La taille en gobelet convient mieux à cette parcelle
- Le vignoble de la sente des noyers
- La Commune Libre de Saint Martin cultive également le vignoble de la sente des noyers
- Taille en guyot
- La taille en guyot convient bien à la parcelle située dans la sente des noyers
- La vigne pleure sa nouvelle sève
- Les cicatrices laissées par la taille des sarments font " pleurer " la vigne
- La vigne qui pleure
- Yvon regarde des gouttes de sève tomber des coursons : la vigne pleure
- Ginglet 2018
- Les sarments une fois chargé, le cru du Ginglet 2018 est mis à dégustation
- R. Bazot et D. Arcival
- R. Bazot et D. Arcival goutent le cru exceptionnel de Ginglet 2018
[3]